Mon chemin vers l’éveil

L’éveil est un objectif, pas une fin en soi

Pour moi, toutes personnes qui sont sur le chemin de l’ouverture de conscience, vont vers l’éveil. Mais l’éveil n’est pas une fin en soi, c’est juste une direction qui conduit mes actes, mes pas pour avancer du mieux possible selon les aléas qui peuvent survenir selon les expériences que nous devons vivre pour nous enrichir et aller de l’avant.

Ce chemin à commencé vers les 13/14 ans

Du moins, j’ai pris conscience que j’étais sur un chemin un peu différent des autres sans trop savoir le pourquoi du comment.

Vers 13/14 ans je m’échappais pour aller parcourir à pied des chemins forestiers. J’avais constaté que cela permettait à mes idées, même les plus saugrenues, de tourner dans ma tête, mais surtout de m’apporter des réponses à des problèmes quotidiens ou des amorces de réponses à d’autres questions plus métaphysiques. J’ai eu beaucoup de dialogue, comme s’il y avait quelqu’un à côté de moi. Un lutin sur mon épaule ? Une fée ? un guide ? je ne sais le dire. Mais les dialogues étaient denses et intéressants.

Mon premier contact avec la « spiritualité » a été fait par l’intermédiaire du catéchisme. Malheureusement, ce que j’ai appris m’a laissé sur ma faim (fin ?).

Bref, Jésus était une belle légende que je ne savais pas situer dans notre monde d’aujourd’hui. En plus, son père, a écrit (fait écrire) un livre, mais chose bizarre, on ne le lisait pas. On ne l’étudiait pas. Et personne n’en faisait référence, du moins dans mon entourage (maison, école, clergé, …). En fait j’ai appris son existence en trouvant dans un vieux meuble, chez mes grands-parents « le nouveau testament ».

De même, notre éducation nous mettait en relation avec le Christianisme, mais pas des autres religions, mouvance religieuse ou philosophie de vie (protestant, orthodoxe, islam, bouddhisme, pour ne citer que ceux qui me viennent à l’esprit en cet instant).

J’ai lu le nouveau testament et, je peux le dire : je n’ai rien compris. J’ai bien retrouvé les principaux points appris au catéchisme comme les différents miracles réalisés par Jésus par exemple. Mais à par ça

J’ai fini par acheter une bible, celle d’OSTY, au printemps 1996. L’avantage, en plus du fait que c’est écrit en gros caractères… , c’est qu’il y a des annotations de bas de page, des notes des traducteurs et des renvois d’un passage à l’autre qui aborde le même thème.

Lire la bible c’est bien, mais la comprendre, c’est autre chose. Alors, j’ai donc prié pour avoir de l’aide. N’était-ce pas ce qu’il fallait faire ?

Dans les semaines qui ont suivi, une amie, à qui ma femme avait dit que j’avais acheté une bible et que, bien évidemment, j’avais du mal « à rentrer dedans », s’est proposée de nous aider.

Réponse à ma prière ? On a dit oui ! !

Cette étude de la bible a duré pratiquement deux ans, à raison d’un soir par semaine.

Effectivement, cette amie, Ghislaine, nous a ouvert ce livre et permis de comprendre bon nombre de messages. Elle n’est pas catholique. Son chemin à elle a été de devenir témoin de Jéhovah.

Je peux vous affirmer, et ceux qui me connaissent ne me contrediront pas, quand elle nous donnait une affirmation, je la retournais dans tous les sens et je cherchais à la corroborer autant que possible avec des sources externes avant de l’accepter. Et cette étude s’est fait avec leur bible, mais en parallèle avec les nôtres (la bible d’OSTY et une autre édition plus ancienne de ma femme)

C’est aussi pour ça que cette étude a duré un peu plus de deux ans.

Depuis, nous avons gardé des contacts cordiaux et sympathiques avec eux, Et chaque fois que Ghislaine a l’occasion de passer, c’est bien volontiers que nous la recevons.

Détiennent-ils la vérité ? Je ne sais pas. Ce que je sais, c’est qu’il nous parle de Jésus avec le livre de son père : La bible. Et leur traduction, n’en déplaise aux affirmations que j’ai pu entendre, est similaire aux deux bibles que nous avions chez nous (depuis j’en ai prêté la bible d’OSTY qui ne m’a pas encore été rendu et ne le sera certainement jamais. Dommage). Ceci pour dire que leur bible n’est pas différente des autres. Au contraire, ils ont mis en place des index et des renvois qui facilitent la compréhension et la recherche d’information.

Mais mon chemin de Vie ne s’est pas arrêté là. Aujourd’hui je peux dire que ce n’était qu’une étape.

 

 

Toute spiritualité portée avec le cœur se respecte. Aucune ne doit nous demander de changer. C’est à chacun de choisir.

Le REIKI a été le passage du mental à la matière

Nos rencontres font que le REIKI est venu à nous en 1999 pour le premier degré et en 2003 pour le deuxième.

Avant 1999 j’étais dans les livres, dans le mental. Le REIKI à ouvert des canaux et je suis entré dans la matière et la pratique en posant mes mains, mes intentions et en expérimentant cette force offerte par la vie.

Entre 1999 et 2003 j’ai été plusieurs fois assistant dans des stages d’initiation au premier degré. Le dernier à eu lieu en 2002 et a été suivi d’une série de synchronicités surprenantes qui nous ont ouvert les portes du chamanisme.

Nos premiers pas dans cet univers se sont fait en 2003, année où nous avons passé le deuxième degré REIKI.

Aujourd’hui, le chamanisme fait parti intégrante de notre vie.

Nous le vivons avec Amour et dans la voie du cœur.

Les synchronicités nous ont mis en relation avec un chaman, Joan Pinchu, en lien avec les traditions Lakota.

Nous avons, avec lui, expérimenté les hutte à sudation. La première a été mémorable.

Nous avons réalisé quatre quêtes de vision et après la première quête nous avons signé pour un nouveau lieu de vie que nous avons emménagé avec la quatrième quête. Un cycle complet.

Dès 2003 nous avons fait notre premier tambour. En peau de bison pour le mien. Ensuite, j’ai été assistant lors de session de création de tambours ce qui m’a appris comment les faire.

En 2005, la Chenupa, la pipe sacrée est venue entre mes mains et, lors de cérémonie, Joan me demandait de la faire tourner dans le cercle. Une manière de lui faire prendre vie. De l’animer mais aussi de me dire que je pouvais faire des cérémonies avec.

Nous avons appris à respecter le Tabac et à l’avoir avec nous lors de cérémonie. Et cette plante sacrée continue de m’accompagner au fil du temps.

En 2008 a eu lieu le premier festival chamanique de Trimurti où nous avons eu la chance de participer, non comme visiteur, mais comme assistant. Un beau moment.

Festival qui nous a permis de rencontrer d’autres chamans comme Eric Marchal, Didier Rauzy ou Jorgito avec qui nous sommes toujours en lien.

 

 

Expérimentation, rencontre, voyages

La voie chamanique nous parle fortement et nous porte et la vie nous fait des clins d’œil qui nous guident dans nos choix.

En 2009, nous avons réalisé un voyage en Mongolie à la rencontre des Chamans. L’inattendu a été de terminer le voyage dans la grande yourte qui rassemblait tous les chamans de la région du Khenti. Un honneur et un privilège.

En 2011 nous avons été au Mexique avec Eric Marchal, dans le désert de Wirikuta vers Real de Catorce, à la rencontre de la médecine des Huichols : le Peyolt.

En 2016 et 2018, au Guatemala, le pays Maya à la rencontre des chamans Mayas avec qui nous avons vécu de belles cérémonies.

En 2013, nos avons rencontré un guérisseur lors de notre voyage en Namibie.

Dans ce parcours les Tambours se sont invités. Suite à des demandes pressantes de personnes que nous côtoyons sur cette route, j’ai, avec un ami, Damien, pu mettre en place des ateliers Tambours. Aujourd’hui, en 2021, cette voie est fermée, mais la demande est toujours là.

Les Akashas se sont invités dans nos vies en 2015.

En 2015, juste avant notre voyage au pays Maya, nous avons été initiés aux Akashas par Tina. Il faut savoir que la prière d’ouverture est d’origine Maya. Juste une synchronicité de plus !

Ce périple Maya m’a permis de prendre confiance dans les informations que je recevais. Au retour, j’ai continué à me relier aux Akashas et c’est eux qui m’ont mis le pied à l’étrier pour écrire mon premier livre « Un pas en Avant » et les suivants « Expérimentes et tu saura » et « Une méditation vaut mille pas ».

Entre temps nous avons appris différentes méthodes, pratiques de soins que nous appliquons en fonctions de nos ressentis. Je ne vais pas toutes les décrire ici. En parcourant ce site, vous en trouverez des traces.

Chaque méthode, chaque pratique est comme un outil : A nous de l’utiliser quand le besoin s’en fait sentir.

 

Le déroulé de ma vie

J’ai eu une vie bien remplie. Une vie de passion, de découverte, d’échec, de réussite où la technique et l’humain se sont côtoyés au fil des ans.

Il y a eu de belles synchronicités, certaines que je découvre en prenant du recul, d’autres que j’ai vécues en conscience.

Il faut retenir que la vie est belle mais qu’elle est ce que nous en faisons. Se sont nos actes d’hier qui construisent notre présent et qui préparent notre futur.